Taxer un avocat de mensonge peut être diffamatoire. (Civ. 1ère, 4 septembre 2024, n° 23-14.961).
Les propos selon lesquels un avocat aurait menti en se prétendant être le défenseur d’une personne gardée à vue peut être considérés comme diffamatoire. Les premiers juges avaient estimé que le mensonge n’est pas une diffamation et l’organe de presse